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Le Parisien, 14/10/06

Les parents ne conduiront pas leurs enfants au groupe scolaire Lubin, ils entendent ainsi protester contre la présence d’antennes relais à proximité de l’établissement scolaire.

Lunes 16 de octubre de 2006 · 1496 lecturas

Le Parisien

SAMEDI 14 OCTOBRE 2006
Chevreuse Les parents boycottent l’école
Ce matin, à l’appel du collectif Haro sur les antennes relais protégeons nos enfants (HARP) les parents ne conduiront pas leurs enfants au groupe scolaire Lubin, ils entendent ainsi protester contre la présence d’antennes relais à proximité de l’établissement scolaire.
Depuis des mois ils réclament à l’opérateur Orange de retirer ses antennes installées depuis avril 2004.
Selon eux ces installations seraient à l’origine des maux de tête et des insomnies dont souffrent les enfants et les adultes habitant à proximité.
Au cours de cette matinée ils réaliseront symboliquement une montagne de cartables portant le nom de chacun des élèves.
Leur mobilisation se poursuivra la semaine prochaine, 48H00 avant une réunion avec l’opérateur de téléphonie mobile par une marche de protestation partant du groupe scolaire en direction de la mairie.

Le Parisien

CHEVREUSE, MERCREDI 7 JUIN 2006.
Les parents d’élèves refusent que leurs enfants scolarisés au groupe scolaire Lubin passent une année de plus à proximité d’antennes relais.
VENDREDI 15 Juin 2006
Chevreuse V.B.
Antennes relais : l’école menacée de boycott.
DU JAMAIS-VU. Une soixantaine de familles de Chevreuse menacent de boycotter l’école à la rentrée prochaine si les antennes relais installées près du groupe scolaire Lubin ne sont pas retirées.
Une demande collective de dérogation a été déposée. Depuis huit mois, ces parents tentent de se faire entendre de l’opérateur de téléphonie mobile.
Ce soir, lors d’une réunion publique, ils auront occasion de faire part de leurs inquiétudes à Orange. « A Chevreuse, nous sommes cernés par les antennes relais, confie une mère de famille. Et ce n’est pas pour autant que nous captons bien. Des antennes sont installées sur
quatre sites, route de Choisel, dans le quartier du Rodhon, à la ferme de Coubertin et enfin à proximité du groupe scolaire où ont été ajoutées en 2004 des antennes UMTS.
Selon certains parents, les enfants souffriraient de maux de tête, de ventre et de fatigue...
Les enfants sont exposés en permanence dix heures par jour, six jours sur sept à ces champs electromagnétiques », poursuit-elle. Selon certains parents, les enfants souffriraient de maux de tête, de ventre et de fatigue...
Des adultes se plaignent aussi de ne plus dormir et imputent ces insomnies aux antennes-relais.
Les parents d’élèves de la FCPE, qui ont donné naissance au collectif Harpe (Haro aux antennes relais - Protégeons nos enfants) ont multiplié les démarches pour obtenir «
l’application du principe de précaution ». Ils ont écrit à plusieurs reprises à l’opérateur, interpellé le préfet, leur députée Valérie Pécresse (UMP), sollicité le médecin scolaire, alerté les médecins de ville, demandé une enquête sanitaire à la Ddass, lancé une pétition qui a recueilli plus de 300 signatures... avec toujours le même mot d’ordre : la suppression de ces installations.
« C’est un préalable à toute négociation, insiste Amina Medjahed, porte-parole du collectif. Nous demandons le retrait de ces antennes. Ensuite, nous souhaitons l’ouverture de discussions pour établir une charte comme à Paris et regrouper ces antennes sur un même site, éloigné des habitations. Nous ne voulons pas que cela se fasse dans la douleur, mais au contraire dans la concertation. » L’opérateur, lui, justifie ces implantations. « Le site est installé depuis avril 2004.
Il fait partie d’un maillage complet d’un réseau. Le but était d’apporter la couverture mobile sur ce secteur. » Et d’évoquer les mesures réalisées. « Celles-ci sont inférieures à 1 V/m, autrement dit largement inférieures aux normes. Avec des valeurs aussi faibles, il n’y a pas de danger. Le rayonnement électromagnétique est trois fois moins important que celui d’un écran d’ordinateur.
Il nous faut rassurer, expliquer et montrer que nous n’avons pas lieu d’être livrés à la vindicte populaire », poursuit l’opérateur qui n’entend pas retirer ses antennes.

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