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Lésions de l’ADN, cancers du cerveau : 434 médecins et 900 professionnels de la santé belges sonnent l’alerte sur la 5G / 434 médicos y 900 profesionales de la salud belgas hacen sonar la alerta con el 5G

Domingo 3 de mayo de 2020 · 1389 lecturas

Lésions de l’ADN, cancers du cerveau : 434 médecins et 900 professionnels de la santé belges sonnent l’alerte sur la 5G
Une opinion signée par 434 médecins belges et 900 professionnels de la santé (voir la liste des signataires au bas de l’article).

Ver también:
http://www.avaate.org/spip.php?article2845

Face au déploiement massif et inconsidéré des technologies sans fil, nous, professionnels de la santé, demandons au gouvernement de faire appliquer le principe de précaution afin de protéger la population et plus particulièrement les groupes les plus vulnérables dont font partie, notamment, les femmes enceintes et les enfants.

En pleine pandémie, alors que les citoyens sont confinés et que la société est mise à rude épreuve, Proximus a entamé ce 31 mars le déploiement de la future 5G dans 30 communes autour de Bruxelles.

Même s’il pourrait s’agir d’une simple coïncidence, ceci nous semble indécent à un moment où les Belges doivent lutter ensemble pour essayer de vaincre le drame humain qui nous préoccupe tous. Parallèlement, des organismes de défense des consommateurs se sont empressés de publier des articles pour affirmer la non-dangerosité de cette technologie.

L’exposition de la population aux rayonnements électromagnétiques de radiofréquences/micro-ondes (RF/MO) n’a cessé d’augmenter ces dernières décennies. Téléphones sans fil de maison (DECT), smartphones, tablettes en 3G puis 4G, Wi-Fi à la maison, au travail, dans les crèches, les écoles, les transports et les lieux publics…

Et maintenant, on assiste à l’arrivée de la 5G ou à tout le moins de la 4G+.

Pourtant, l’innocuité de cette exposition n’a jamais été démontrée. Au contraire, les preuves de sa nocivité s’accumulent. Depuis 2011 d’ailleurs, les rayonnements électromagnétiques de RF/MO des technologies sans fil sont considérés par l’OMS comme possiblement cancérigènes (classe 2B), en grande partie à cause des risques accrus de gliomes et de neurinomes acoustiques chez les utilisateurs de longue date de téléphones cellulaires.

Le Principe de Précaution n’a nullement été respecté lors du déploiement massif de ces technologies sans fil.
Or, lorsque des risques graves et possiblement irréversibles ont été identifiés, l’absence de certitude ne doit pas servir de prétexte à remettre à plus tard des mesures pour protéger l’environnement et la santé.

Nous avons revu la littérature scientifique indépendante et nous nous référons entre autres, à la Résolution 1815 de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe. Nos conclusions rejoignent celles de spécialistes indépendants, et sont que le principe de précaution n’est actuellement pas appliqué et que la protection de la santé des citoyens, et des enfants en particulier, n’est pas assurée face à la surexposition à ces rayonnements électromagnétiques RF/MO.

Les normes censées protéger la population de l’exposition aux rayonnements électromagnétiques RF/MO ne tiennent compte que de l’échauffement des tissus (effet thermique) lors d’une exposition de durée limitée.

Ces normes ne tiennent pas compte des expositions répétées et/ou prolongées, ni de tous les effets biologiques non thermiques qui surviennent à des valeurs nettement inférieures aux valeurs actuellement autorisées. Elles n’ont pas été conçues pour protéger les fœtus, les enfants, les adolescents, les personnes âgées…

Pour les enfants, les risques peuvent être accrus en raison des effets cumulatifs d’une exposition prolongée. Leurs cerveaux, organes et tissus en développement et immatures peuvent être plus sensibles à l’exposition. Et les rayonnements pénètrent proportionnellement plus en profondeur dans leurs organes que dans ceux des adultes puisque leurs dimensions sont plus petites.

Le déploiement généralisé des technologies sans fil comporte des risques sanitaires connus depuis plusieurs décennies.

De nombreuses études (études sur des cellules, des animaux, études épidémiologiques) confirment l’existence d’effets biologiques non thermiques induits par l’exposition à des rayonnements électromagnétiques RF/MO émis par les technologies sans fil. Ces effets biologiques sont, par exemple, des lésions de l’ADN (ruptures), des perturbations de la synthèse des protéines, des altérations des spermatozoïdes, des perturbations de la synthèse d’hormones.

On connait les conséquences des lésions de l’ADN, notamment leur lien avec la survenue de cancers. Les dernières études sur les rats menées en 2018 par deux instituts indépendants différents (NTP et Ramazzini) ont montré que l’exposition aux rayonnements électromagnétiques RF/MO augmente la survenue de tumeurs, notamment du cerveau. Suite à cela, en mars 2019, le Centre International de Recherche sur le Cancer a recommandé une réévaluation de la classification de ces rayonnements endéans les 4 ans.

En mai 2019, le Conseil Supérieur de la Santé belge reconnaît, dans un avis sur les rayonnements non-ionisants, l’existence des effets biologiques de ces rayonnements à des niveaux non-thermiques ; leur lien avec le développement de cancers (augmentations importantes et statistiquement significatives du risque de gliomes cérébraux et de neurinomes de l’acoustique homolatéraux); le lien entre l’exposition maternelle aux champs électromagnétiques des fréquences des téléphones mobiles et l’existence de troubles du comportement et du langage chez l’enfant.

Bien qu’il faille plus de 20 ans à certains cancers pour se développer, on constate déjà une augmentation des glioblastomes (cancers du cerveau) dans les populations de certains pays européens. Au vu de ces éléments, il deviendrait dès lors inconvenant, d’oser encore continuer à clamer que tout cela ne représente aucun danger pour la santé.

Et la 5G ?

L’installation de la 5G nécessitera un assouplissement important des normes déjà beaucoup trop élevées.

De plus, cette technologie, qui présente des spécificités techniques différentes des technologies de générations antérieures, n’a pas fait l’objet d’études sanitaires préliminaires. Certains scientifiques craignent une augmentation de survenue des cancers de la peau et des dommages oculaires liés à l’utilisation de fréquences porteuses plus élevées.

Par ailleurs, la multiplication du nombre d’antennes relais nécessaires à l’installation du réseau 5G et l’hyper-connectivité absolue dans laquelle elle précipitera la société imposera une augmentation généralisée et certaine des niveaux d’exposition des populations.

Cela équivaut à prévoir une situation où le risque sanitaire global serait augmenté par un facteur qu’il est impossible de déterminer à l’avance, avec des retombées sanitaires dont nous ne connaissons pas la nature et sur lesquelles nous n’aurions aucun contrôle.

Cela équivaudrait aussi à une infraction au code de Nuremberg puisqu’il s’agirait finalement d’une expérimentation sur l’humain sans son consentement, sans certitude que le bénéfice pour la société soit plus important que le risque encouru…

En tant que médecins, nous déplorons déjà de plus en plus de pathologies pouvant être en lien avec des composants environnementaux tels que cette exposition croissante de la population aux rayonnements électromagnétiques du sans-fil. Nous recevons aussi des témoignages et nous rencontrons de plus en plus de personnes souffrant de troubles physiques potentiellement liés à l’exposition aux rayonnements électromagnétiques comme des troubles du sommeil, des acouphènes, des palpitations, des maux de tête, des troubles de l’attention et de la concentration, de fortes douleurs...

Nous demandons, en référence à la Résolution 1815 de mai 2011 de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe, ainsi que dans la lignée des dizaines d’appels de médecins et de scientifiques de par le monde, que les mandataires publics locaux, régionaux et fédéraux prennent leurs responsabilités et les mesures nécessaires afin d’obtenir :
• L’application du Principe de Précaution en vue de protéger la population, surtout les plus jeunes, les enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées,
• Un moratoire sur le déploiement de la 5G en attendant des études d’impact sanitaire,
• La sensibilisation des citoyens, en particulier des parents, des adolescents et des femmes enceintes à un usage raisonné et responsable des objets connectés sans fil,
• L’établissement de normes d’exposition réellement protectrices basées sur les effets biologiques thermiques et non thermiques des champs et rayonnements électromagnétiques RF/MO,
• La création d’un centre de vigilance ou d’un organisme de recensement de symptômes en lien avec cette exposition.

Par cette carte-blanche, nous rejoignons les milliers de médecins et de scientifiques, issus du monde entier, qui depuis l’année 2000 ont uni leurs voix dans des appels récurrents pour alerter les populations et les politiciens face aux dangers des technologies sans fil.

Aujourd’hui, nous sommes parmi les 434 médecins belges et 900 professionnels de la santé à signer l’"Hippocrates Electrosmog Appeal" pour demander au gouvernement de faire appliquer le principe de précaution afin de protéger la population contre ces dangers. Vous trouverez sur notre site internet toutes les références relatives aux informations communiquées ci-dessus : https://www.hippocrates-electrosmog-appeal.be/

L’actualité récente nous inquiète d’autant plus, mais gageons ensemble qu’elle puisse être l’occasion de nouvelles prises de conscience et d’avancées dans le domaine de la prévention, qui doit aujourd’hui et plus que jamais faire l’objet de toute notre attention.

https://www.brusselstimes.com/all-news/belgium-all-news/109231/health-workers-call-for-caution-over-5g-roll-out/

https://www.lalibre.be/debats/opinions/lesions-de-l-adn-cancers-du-cerveau-414-professionnels-de-la-sante-belges-sonnent-l-alerte-sur-la-5g-5ea976577b50a67d2ee98738?fbclid=IwAR1Rs61P_hA_LshMXzhLLidbfU9VD649QI5uw7dZx9_m3mcGZCNNlBlVTqc


DAÑO EN EL ADN Y CÁNCER CEREBRAL: 434 médicos y 900 profesionales de la salud belgas hacen sonar la alerta con el 5G

29 abril 2020

Una opinión firmada por 434 médicos belgas y 900 profesionales de la salud (ver la lista de firmantes al final del artículo).

Ante el despliegue masivo e imprudente de las tecnologías inalámbricas, nosotros, los profesionales de la salud, pedimos al gobierno que haga cumplir el principio de precaución para proteger a la población y más particularmente a los grupos más vulnerables, incluidas las mujeres embarazadas. y niños

En medio de una pandemia, mientras los ciudadanos están confinados y la sociedad está bajo una fuerte presión, Proximus comenzó el 31 de marzo el despliegue del futuro 5G en 30 municipios alrededor de Bruselas.

Incluso si pudiera ser una simple coincidencia, esto nos parece indecente en un momento en que los belgas deben luchar juntos para tratar de superar el drama humano que nos concierne a todos. Al mismo tiempo, las organizaciones de consumidores han publicado rápidamente artículos que afirman que la tecnología no es peligrosa.

La exposición del público en general a la radiación de radiofrecuencia electromagnética / microondas (RF / MO) ha aumentado en las últimas décadas. Teléfonos domésticos inalámbricos (DECT), teléfonos inteligentes, tabletas en 3G y 4G, Wi-Fi en el hogar, en el trabajo, en guarderías, escuelas, transporte y lugares públicos ...

Y ahora estamos presenciando la llegada del 5G o al menos del 4G +.

Sin embargo, la seguridad de esta exposición nunca se ha demostrado. Por el contrario, se está acumulando evidencia de su nocividad. Además, desde 2011, la OMS ha considerado que la radiación electromagnética de RF / MO de las tecnologías inalámbricas es posiblemente cancerígena (clase 2B), en gran parte debido al aumento de los riesgos de gliomas y neuromas acústicos entre los usuarios a largo plazo de los teléfonos móviles.

El principio de precaución no se observó de ninguna manera durante el despliegue masivo de estas tecnologías inalámbricas.

Sin embargo, cuando se han identificado riesgos graves y posiblemente irreversibles, la falta de certeza no debe usarse como pretexto para posponer medidas para proteger el medio ambiente y la salud.

Hemos revisado la literatura científica independiente y nos referimos, entre otras cosas, a la Resolución 1815 de la Asamblea Parlamentaria del Consejo de Europa. Nuestras conclusiones concuerdan con las de especialistas independientes, y son que el principio de precaución no se aplica actualmente y que la protección de la salud de los ciudadanos, y de los niños en particular, no está garantizada ante la sobreexposición a estas radiaciones electromagnéticas. RF / MO.

Las normas destinadas a proteger a la población de la exposición a la radiación electromagnética de RF / MO solo tienen en cuenta el calentamiento de los tejidos (efecto térmico) durante una exposición de duración limitada.

Estas normas no tienen en cuenta las exposiciones repetidas y / o prolongadas, ni los efectos biológicos no térmicos que se producen a valores significativamente inferiores a los valores actualmente autorizados. No fueron diseñados para proteger fetos, niños, adolescentes, ancianos, etc.

Para los niños, los riesgos pueden aumentar debido a los efectos acumulativos de la exposición prolongada. Sus cerebros, órganos y tejidos en desarrollo e inmaduros pueden ser más sensibles a la exposición. Y la radiación penetra proporcionalmente más profundamente en sus órganos que en los adultos ya que sus dimensiones son más pequeñas.

El despliegue generalizado de tecnologías inalámbricas ha conocido riesgos para la salud durante varias décadas.

Numerosos estudios (estudios en células, animales, estudios epidemiológicos) confirman la existencia de efectos biológicos no térmicos inducidos por la exposición a la radiación electromagnética RF / MO emitida por tecnologías inalámbricas. Estos efectos biológicos son, por ejemplo, daños en el ADN (rupturas), alteraciones en la síntesis de proteínas, alteraciones de los espermatozoides, alteraciones en la síntesis de hormonas.

Conocemos las consecuencias del daño en el ADN, incluido su vínculo con la aparición de cáncer. Los últimos estudios sobre ratas realizados en 2018 por dos institutos independientes diferentes (NTP y Ramazzini) han demostrado que la exposición a la radiación electromagnética RF / MO aumenta la aparición de tumores, especialmente del cerebro. Después de esto, en marzo de 2019, la Agencia Internacional de Investigación sobre el Cáncer recomendó una nueva evaluación de la clasificación de estas radiaciones dentro de los 4 años.

En mayo de 2019, el Consejo Superior de Salud de Bélgica reconoce, en una opinión sobre la radiación no ionizante, la existencia de los efectos biológicos de esta radiación a niveles no térmicos; su vínculo con el desarrollo de cánceres (aumentos significativos y estadísticamente significativos en el riesgo de gliomas cerebrales y neuromas acústicos homolaterales); El vínculo entre la exposición materna a los campos electromagnéticos de las frecuencias de los teléfonos móviles y la existencia de trastornos del comportamiento y del lenguaje en los niños.

Aunque se necesitan más de 20 años para que se desarrollen algunos tipos de cáncer, ya hay un aumento de los glioblastomas (cáncer de cerebro) en las poblaciones de algunos países europeos. En vista de estos hechos, sería impropio atreverse a seguir afirmando que todo esto no representa ningún peligro para la salud.

¿Qué pasa con el 5G?

La instalación de 5G requerirá una relajación significativa de los estándares que ya son demasiado altos.

Además, esta tecnología, que tiene especificidades técnicas diferentes de las tecnologías de generaciones anteriores, no ha sido objeto de estudios preliminares de salud. Algunos científicos temen un aumento en la aparición de cáncer de piel y daño ocular asociado con el uso de frecuencias portadoras más altas.

Además, la multiplicación del número de antenas de retransmisión necesarias para la instalación de la red 5G y la hiperconectividad absoluta en la que precipitará la sociedad impondrá un aumento general y seguro en los niveles de exposición de las poblaciones.

Esto equivale a predecir una situación en la que el riesgo general para la salud aumentaría por un factor que es imposible de determinar de antemano, con consecuencias para la salud de las cuales no conocemos la naturaleza y sobre las cuales no tendríamos control.

También equivaldría a una violación del Código de Nuremberg, ya que en última instancia sería un experimento en humanos sin su consentimiento, sin la certeza de que el beneficio para la sociedad es mayor que el riesgo incurrido ...

Como médicos, ya estamos lamentando cada vez más patologías que pueden estar relacionadas con componentes ambientales, como esta exposición creciente de la población a la radiación electromagnética de la tecnología inalámbrica. También recibimos testimonios y conocemos a más y más personas que padecen trastornos físicos potencialmente relacionados con la exposición a la radiación electromagnética, como trastornos del sueño, tinnitus, palpitaciones, dolores de cabeza, trastornos de atención. y concentración, dolor severo ...

Solicitamos, con referencia a la Resolución 1815 de mayo de 2011 de la Asamblea Parlamentaria del Consejo de Europa, así como en línea con docenas de llamadas de médicos y científicos de todo el mundo, que los representantes públicos locales, Las autoridades regionales y federales asumen sus responsabilidades y las medidas necesarias para obtener:

• La aplicación del Principio de precaución para proteger a la población, especialmente a los más pequeños, niños, mujeres embarazadas, ancianos,

• Una moratoria sobre el despliegue de 5G pendientes de estudios de impacto en la salud,

• Concienciar a los ciudadanos, en particular a los padres, adolescentes y mujeres embarazadas, sobre el uso responsable de los objetos conectados de forma inalámbrica.

• El establecimiento de estándares de exposición verdaderamente protectores basados en los efectos biológicos térmicos y no térmicos de los campos electromagnéticos y la radiación RF / MO,

• La creación de un centro de vigilancia o una organización de inventario de síntomas en relación con esta exposición.

Con esta carta blanca, llegamos a los miles de médicos y científicos de todo el mundo que, desde el año 2000, han unido a sus voces en llamamientos recurrentes para alertar a las poblaciones y los políticos sobre los peligros de las tecnologías inalámbricas.

Hoy, estamos entre los 434 médicos belgas y 900 profesionales de la salud que firmaron el "Llamamiento de Hipócrates contra el Electrosmog" para pedirle al gobierno que aplique el principio de precaución para proteger a la población contra estos peligros. Encontrará en nuestro sitio web todas las referencias relacionadas con la información comunicada anteriormente: https://www.hippocrates-electrosmog-appeal.be/

Los acontecimientos recientes nos preocupan aún más, pero apostemos juntos a que puede ser la ocasión de un nuevo despertar para avanzae en el campo de la prevención, que hoy en día y más que nunca debe ser objeto de toda nuestra atención.

https://www.lalibre.be/debats/opinions/lesions-de-l-adn-cancers-du-cerveau-414-professionnels-de-la-sante-belges-sonnent-l-alerte-sur-la-5g-5ea976577b50a67d2ee98738?fbclid=IwAR1Rs61P_hA_LshMXzhLLidbfU9VD649QI5uw7dZx9_m3mcGZCNNlBlVTqc